Votre certification environnementale : 5 applications méconnues pour une carrière d’impact

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Salut les amis, chers bâtisseurs d’un monde plus vert ! Aujourd’hui, j’avais vraiment envie de vous parler d’un sujet au cœur de nos préoccupations pour l’avenir : la certification d’expert en évaluation environnementale.

C’est fou de voir à quel point cette compétence est devenue vitale pour guider nos projets vers un chemin plus durable et respectueux de notre planète.

Face aux défis climatiques et à la transformation écologique de nos sociétés, j’ai personnellement constaté que cette expertise offre des opportunités professionnelles insoupçonnées, bien au-delà des clichés habituels.

Si vous vous demandez comment ce métier peut concrètement façonner un avenir plus harmonieux pour tous, vous êtes au bon endroit ! On va découvrir ensemble toutes les facettes de cette certification et ses multiples applications.

Pourquoi la planète nous appelle à cette expertise ?

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Comprendre l’urgence écologique de notre temps

Franchement, quand j’ai commencé à m’intéresser à tout ça il y a quelques années, je me suis dit : “Bon sang, mais c’est évident ! Comment on a pu s’en passer si longtemps ?” L’évaluation environnementale, ce n’est pas juste une formalité administrative, loin de là. C’est carrément le baromètre de nos sociétés, un outil indispensable pour s’assurer que nos projets, qu’ils soient petits ou gigantesques, ne mettent pas à mal l’équilibre fragile de notre belle planète. Je crois sincèrement qu’on ne peut plus se permettre d’avancer à l’aveugle, surtout avec les canicules qu’on a eues cet été en France, ou les inondations qui ont frappé des régions entières. On le voit, le climat change, et vite ! Nos choix d’aujourd’hui dictent le monde de demain, et en tant qu’experts, nous sommes là pour éclairer ces choix, pour guider les décideurs vers des solutions vraiment durables. C’est une responsabilité immense, mais tellement gratifiante de savoir qu’on participe activement à construire un avenir plus respirable pour nos enfants et petits-enfants. C’est ça qui me motive chaque matin, ce sentiment d’agir concrètement. Et croyez-moi, l’impact est palpable, que ce soit sur un projet de parc éolien ou sur la réhabilitation d’un quartier entier. On n’est pas juste des “contrôleurs”, on est des “facilitateurs” du développement durable, des architectes d’un monde plus conscient et plus respectueux de ses ressources.

Le rôle pivot de l’expert en évaluation

L’expert en évaluation environnementale, c’est un peu le chef d’orchestre. C’est la personne qui va analyser toutes les interactions entre un projet et son environnement, de l’air que l’on respire à la biodiversité locale, en passant par le bruit ou la gestion des déchets. On ne se contente pas de pointer les problèmes, on propose des solutions, des mesures d’évitement, de réduction ou de compensation. J’ai un souvenir très net d’un projet d’aménagement urbain près de Lyon, où notre équipe a réussi à intégrer des corridors écologiques pour la faune locale, évitant ainsi la fragmentation d’un écosystème précieux. Au début, les développeurs étaient un peu réticents, mais après leur avoir montré les bénéfices à long terme, non seulement pour l’environnement mais aussi pour l’image et l’acceptabilité de leur projet, ils ont été convaincus. C’est ça notre force : transformer les contraintes en opportunités, avec une vision à 360 degrés. On doit être à la fois scientifiques, communicants, parfois même un peu diplomates !

Mon aventure personnelle : quand la passion devient profession

Les premiers pas et les doutes

Comme beaucoup d’entre vous peut-être, j’ai eu ma période de questionnement. Après mes études, je voulais vraiment faire quelque chose qui ait du sens, au-delà de la simple fiche de paie. J’ai toujours été sensible aux questions environnementales, et un jour, en lisant un article sur les enjeux climatiques, une phrase a fait tilt : “Il est temps de passer de la parole aux actes.” C’est là que j’ai commencé à explorer sérieusement les métiers de l’environnement. Je me souviens des heures passées à chercher des formations, à échanger avec des professionnels. J’avais peur de ne pas être à la hauteur, de ne pas avoir les compétences techniques suffisantes. Le parcours n’a pas été linéaire, avec ses hauts et ses bas, quelques portes qui se ferment, d’autres qui s’entrouvrent avec des opportunités inattendues. Mais chaque fois, ma motivation à contribuer à un monde meilleur reprenait le dessus. C’est cette flamme intérieure qui m’a poussée à persévérer et à viser cette certification. Je me rappelle encore la joie immense le jour où j’ai reçu les résultats !

Les moments clés et les apprentissages

Ce qui m’a le plus marqué durant mon cheminement vers cette certification, c’est l’incroyable diversité des situations que l’on rencontre. On peut travailler sur des sujets aussi variés que l’impact d’une nouvelle ligne TGV sur la faune et la flore, l’analyse des nuisances sonores d’un aéroport en expansion, ou encore l’évaluation des risques liés à un site industriel. Chaque projet est un nouveau défi, une nouvelle énigme à résoudre. J’ai eu la chance de travailler sur un dossier d’éco-quartier à Nantes, où l’objectif était de minimiser l’empreinte carbone et d’optimiser la gestion de l’eau. C’était fascinant de collaborer avec des architectes, des urbanistes, des ingénieurs, chacun apportant sa pierre à l’édifice. On a passé des semaines sur le terrain, à mesurer, à observer, à discuter avec les habitants. C’est dans ces moments-là que l’on mesure l’importance de notre rôle et la complexité des enjeux. Et puis, il y a aussi les conférences, les ateliers de formation continue… car dans ce domaine, on n’arrête jamais d’apprendre, les réglementations évoluent, les techniques aussi. C’est un apprentissage constant qui rend le métier passionnant et stimulant.

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Des opportunités qui verdissent votre carrière : plus qu’un métier, une mission

Un éventail de carrières insoupçonnées

Cette certification n’est pas juste un diplôme de plus à accrocher au mur. C’est un véritable passeport pour une multitude de carrières passionnantes et porteuses de sens. On pense souvent aux bureaux d’études, et c’est vrai qu’ils recrutent énormément. Mais les opportunités vont bien au-delà ! On peut travailler pour des collectivités territoriales, des agences de l’eau, des parcs naturels régionaux, ou même de grandes entreprises qui ont des départements dédiés au développement durable. J’ai même une amie qui est devenue consultante indépendante, spécialisée dans l’évaluation d’impact des événements culturels. Qui l’eût cru ? Les entreprises du CAC 40, elles aussi, cherchent des profils capables de les aider à réduire leur empreinte écologique et à respecter les normes environnementales européennes, qui deviennent de plus en plus strictes, notamment avec le Green Deal de l’Union Européenne. C’est un marché en pleine expansion, et les profils qualifiés sont très recherchés. Si vous avez une fibre entrepreneuriale, c’est aussi un excellent tremplin pour lancer votre propre cabinet de conseil. Le champ des possibles est vraiment vaste et offre une belle flexibilité.

Contribuer activement à des projets d’envergure

Imaginez un instant que vous participez à la construction d’un nouveau quartier zéro carbone à Paris, ou à la préservation d’une zone humide emblématique en Camargue. En tant qu’expert certifié, vous avez la légitimité et les compétences pour influencer positivement ces projets. Votre avis compte, vos recommandations sont prises en compte. Cela donne un sentiment d’utilité incroyable, de savoir que l’on est un acteur clé de la transition écologique. On est souvent au cœur des décisions stratégiques, à la table des négociations, où l’on défend les intérêts de l’environnement, mais aussi, in fine, ceux de la société. C’est une position privilégiée qui permet de voir l’impact concret de son travail. J’ai récemment travaillé sur un projet de ferme solaire photovoltaïque dans le Sud de la France, et ma mission était d’assurer que l’intégration paysagère soit respectueuse du site et que l’impact sur la biodiversité soit minime. Le résultat final était une installation non seulement efficace énergétiquement, mais aussi bien acceptée par les riverains et intégrée dans le paysage, un véritable succès dont je suis très fière.

Le quotidien d’un expert : entre terrain et dossiers stratégiques

Une journée type : jamais la même routine !

Si vous aimez la routine, ce métier n’est probablement pas fait pour vous ! C’est ce que j’adore le plus, en fait : il n’y a pas deux jours qui se ressemblent. Un matin, je peux être sur le terrain, bottes aux pieds, pour évaluer la qualité d’un sol avant un projet de construction. L’après-midi, je suis de retour au bureau, plongée dans des cartes, des données scientifiques, à rédiger un rapport d’évaluation pour une collectivité locale. Le lendemain, je peux être en réunion avec des élus, des architectes, des associations environnementales, pour discuter des mesures compensatoires d’un grand projet. J’ai le souvenir d’une journée où j’ai commencé par un survol en drone d’une zone à risque près de Bordeaux, puis j’ai terminé par une session de brainstorming intense avec une équipe d’ingénieurs pour trouver des solutions innovantes. Cette diversité, c’est ce qui rend le métier si vivant et stimulant. Chaque mission est une nouvelle aventure intellectuelle et humaine, qui demande de l’adaptabilité et une curiosité insatiable.

Les outils et compétences indispensables

Pour être un bon évaluateur, il ne suffit pas d’avoir la certification, il faut aussi maîtriser une panoplie d’outils et de compétences. Bien sûr, il y a les connaissances techniques en écologie, en droit de l’environnement, en gestion de projet. Mais il y a aussi des compétences plus “douces” qui sont cruciales. La capacité d’analyse et de synthèse, par exemple, pour transformer des montagnes de données en recommandations claires et concises. La communication est essentielle : savoir expliquer des enjeux complexes à des publics variés, convaincre, négocier. Et la rigueur, bien sûr, car nos rapports ont un poids légal important. On utilise des logiciels de cartographie (SIG), des bases de données environnementales, des outils de modélisation… C’est un mélange fascinant de science, de technologie et de relations humaines. J’ai personnellement beaucoup appris en pratiquant, en me frottant à des cas concrets. Et je peux vous dire qu’une bonne maîtrise du tableur Excel est parfois aussi utile qu’une connaissance approfondie des espèces protégées !

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Se lancer : astuces et pièges à éviter pour une certification réussie

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Préparation : les étapes clés

Alors, vous êtes décidé à vous lancer ? Bravo ! La première chose, c’est de bien cibler la certification qui correspond le mieux à votre projet professionnel. Il existe différentes accréditations en France et en Europe, certaines plus générales, d’autres très spécialisées. Renseignez-vous bien sur les prérequis, les programmes et les débouchés. Une fois votre choix fait, la préparation est essentielle. Ne sous-estimez pas le temps et l’énergie que cela demande. Je vous conseille de commencer par réviser les fondamentaux en droit de l’environnement, en écologie, en hydrologie. Les études de cas pratiques sont un excellent moyen de se mettre en situation. J’ai personnellement trouvé très utile de créer des fiches de synthèse par thème et de m’entraîner régulièrement sur des examens blancs. N’hésitez pas à rejoindre des groupes d’étude ou des forums spécialisés. L’échange avec d’autres candidats peut être d’une aide précieuse pour clarifier certains points et partager des astuces. La persévérance est la clé, ne baissez jamais les bras !

Les erreurs classiques à éviter

Attention, il y a quelques pièges à éviter quand on prépare cette certification. Le premier, c’est de négliger la partie “méthodologie”. Ce n’est pas seulement ce que l’on sait, mais comment on applique ces connaissances. L’évaluation environnementale suit des processus très précis, et il faut les maîtriser sur le bout des doigts. Une autre erreur fréquente est de se contenter de la théorie. Les jurys attendent souvent une capacité à analyser des situations concrètes et à proposer des solutions réalistes. Il faut donc s’entraîner à la résolution de problèmes et à l’argumentation. Enfin, ne vous isolez pas ! Le réseau est une ressource inestimable. J’ai vu des personnes échouer car elles n’avaient pas osé demander de l’aide ou des éclaircissements sur des points qu’elles ne maîtrisaient pas. N’ayez pas peur de poser des questions, de solliciter des professionnels, ou de vous faire accompagner par des organismes de formation. C’est un investissement, certes, mais qui en vaut largement la peine pour la carrière que cela ouvre. Et n’oubliez pas de bien dormir avant l’examen, le stress peut jouer des tours !

Au-delà du papier : l’impact réel de nos actions sur l’environnement

Des changements concrets dans nos territoires

C’est peut-être la partie la plus gratifiante de mon métier : voir l’impact tangible de nos efforts. Chaque fois qu’un projet est modifié pour mieux respecter l’environnement, qu’une nouvelle technique plus écologique est adoptée, ou qu’une zone naturelle est préservée grâce à notre intervention, c’est une petite victoire pour la planète. Je pense à cette petite commune des Vosges où, grâce à une évaluation rigoureuse, un projet de lotissement a été repensé pour ne pas empiéter sur une zone humide essentielle pour la reproduction des batraciens. Ou encore à cette usine en Bretagne qui a complètement revu son système de traitement des eaux usées, réduisant considérablement sa pollution grâce à nos recommandations. Ce ne sont pas des histoires tirées d’un livre, ce sont des situations réelles que nous vivons au quotidien. Être un expert en évaluation environnementale, c’est avoir le pouvoir d’influencer directement les décisions qui façonnent notre environnement et notre qualité de vie, et cela, c’est une source de motivation inépuisable.

Inspirer une nouvelle génération

Je rencontre souvent des jeunes, étudiants ou en reconversion, qui me posent des questions sur mon parcours. Et je sens en eux une véritable soif de sens, un désir ardent de s’engager pour l’environnement. Je crois que notre rôle ne se limite pas à l’évaluation technique. Nous sommes aussi des passeurs de savoir, des inspirateurs. En partageant nos expériences, nos réussites et même nos défis, nous pouvons montrer que l’on peut allier passion et profession, et que l’on peut faire une réelle différence. C’est en voyant des projets durables prendre forme que l’on donne espoir et que l’on encourage d’autres personnes à s’engager dans cette voie. Quand je vois l’enthousiasme dans les yeux d’un jeune stagiaire après une journée sur le terrain, je me dis que notre travail est bien plus qu’une expertise : c’est un engagement pour l’avenir, une transmission de valeurs et de compétences essentielles pour relever les défis de demain. C’est un peu comme planter un arbre : on ne voit pas les fruits tout de suite, mais on sait qu’on prépare un avenir meilleur.

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Un investissement d’avenir : parlons rentabilité et sens

Un métier d’avenir, une rémunération attractive

Soyons clairs : au-delà de la passion et de l’engagement, il faut aussi parler de la réalité économique. Est-ce que cette certification est un bon investissement financier ? Ma réponse est un grand OUI ! C’est un domaine en pleine croissance, porté par une législation environnementale de plus en plus exigeante et une prise de conscience collective des enjeux. Les salaires sont généralement attractifs et évoluent rapidement avec l’expérience. Un débutant peut espérer un salaire de départ autour de 28 000 à 35 000 euros bruts annuels en France, mais avec quelques années d’expérience et une spécialisation, on peut facilement dépasser les 45 000, voire 60 000 euros pour des profils seniors ou des consultants indépendants très demandés. C’est un marché où l’expertise est valorisée, et c’est tout à fait normal : notre travail est essentiel pour la pérennité des projets et la protection de notre environnement. En plus, les perspectives d’évolution sont excellentes, que ce soit vers des postes de management, d’expertise pointue ou de conseil stratégique.

Plus qu’un salaire, une richesse personnelle

Mais au-delà des chiffres, ce qui rend ce métier vraiment “rentable” à mes yeux, c’est la richesse humaine et personnelle qu’il apporte. Chaque jour, je me sens utile, j’ai le sentiment de contribuer à quelque chose de plus grand que moi. Ce n’est pas qu’un boulot, c’est une mission, une passion. Les rencontres sont incroyables : on travaille avec des scientifiques, des ingénieurs, des agriculteurs, des élus, des associations… C’est un brassage d’idées, de cultures et de perspectives qui enrichit énormément. J’ai appris tellement de choses, pas seulement sur l’environnement, mais sur la résilience humaine, la capacité d’innovation, la force du collectif. Le fait de savoir que mon travail aide à préserver la beauté de nos paysages français, à garantir un air et une eau plus propres pour tout le monde, ça n’a pas de prix. C’est une satisfaction profonde qui va bien au-delà de n’importe quel salaire. Et je suis convaincue que c’est ce genre de “richesse” qui nous permet de nous épanouir pleinement dans notre vie professionnelle. Alors, prêts à transformer votre passion en un métier d’avenir ?

Pour vous donner une idée plus claire des différents horizons qui s’offrent à vous, voici un petit aperçu des types d’expertises possibles une fois certifié :

Type d’Expertise Description de la Mission Exemples de Projets Ciblés
Étude d’Impact Environnemental (EIE) Évaluation des effets significatifs d’un projet sur l’environnement et proposition de mesures d’atténuation. Construction d’une autoroute, implantation d’une usine, projet immobilier d’envergure.
Évaluation Environnementale Stratégique (EES) Analyse des incidences environnementales des plans et programmes, en amont des projets individuels. Plans d’urbanisme locaux, schémas d’aménagement régionaux, politiques agricoles nationales.
Audit Environnemental Vérification de la conformité d’une organisation ou d’un site aux normes et réglementations environnementales. Usine agroalimentaire, site de gestion des déchets, plateforme logistique.
Bilan Carbone / Évaluation de l’Empreinte Carbone Mesure des émissions de gaz à effet de serre d’une entité et identification des leviers de réduction. Collectivité territoriale, entreprise manufacturière, événement sportif ou culturel.
Conseil en Écoconception Intégration des préoccupations environnementales dès la phase de conception d’un produit ou service. Création d’un nouveau produit électronique, développement d’un emballage alimentaire, conception d’un bâtiment.

À la fin de cet article

Voilà, chers amis bâtisseurs, notre voyage au cœur de la certification d’expert en évaluation environnementale touche à sa fin. J’espère sincèrement que mon expérience et ces quelques éclaircissements vous auront éclairé et, pourquoi pas, inspiré à embrasser cette voie passionnante. C’est un métier qui demande de l’engagement, certes, mais qui offre en retour une richesse immense, tant professionnelle que personnelle. Se savoir acteur d’un monde plus durable, c’est une motivation qui n’a pas de prix. Alors, si l’appel de la planète résonne en vous, n’hésitez plus : le chemin de l’expertise environnementale est grand ouvert et n’attend que vous pour continuer à verdir notre avenir.

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Informations utiles à savoir

Pour ceux qui souhaitent approfondir le sujet ou se lancer dans cette belle aventure, voici quelques pistes et conseils que j’aurais aimé avoir à mes débuts :

1. Renseignez-vous auprès des organismes de formation agréés et des associations professionnelles françaises comme l’Union Nationale des Associations d’Évaluateurs Environnementaux (UNAEE) ou le Conseil National des Ingénieurs et Scientifiques de France (CNISF) pour les certifications reconnues en France. Leurs sites regorgent d’informations précieuses sur les parcours et les évolutions du métier.

2. Ne sous-estimez jamais le pouvoir du réseau ! Participez à des conférences, des salons professionnels (comme Pollutec ou les Assises Européennes de la Transition Énergétique), et utilisez des plateformes comme LinkedIn pour échanger avec des experts déjà en poste. Un simple café peut parfois ouvrir des portes inattendues.

3. La veille réglementaire est primordiale. Les lois et décrets concernant l’environnement évoluent constamment, notamment sous l’impulsion du droit européen. Abonnez-vous aux newsletters du Ministère de la Transition Écologique et aux publications spécialisées pour rester informé des dernières modifications. C’est la clé de votre crédibilité et de votre efficacité.

4. Développez vos compétences en SIG (Systèmes d’Information Géographique). C’est un outil quasi indispensable pour l’analyse spatiale des impacts environnementaux. De nombreuses formations courtes sont disponibles pour se familiariser avec ces logiciels et les maîtriser rapidement.

5. Pensez à l’internationalisation de votre profil. Les enjeux environnementaux sont mondiaux, et une expérience à l’étranger ou la maîtrise de l’anglais technique peut grandement enrichir votre parcours et vous ouvrir des opportunités dans des organisations internationales ou des projets d’envergure européenne.

Récapitulatif des points clés

En résumé, l’expert en évaluation environnementale est bien plus qu’un simple technicien ; c’est un architecte du développement durable, un guide essentiel pour naviguer dans les défis écologiques actuels. Cette certification ouvre les portes à une carrière diversifiée et riche de sens, avec des opportunités professionnelles solides et une rémunération attractive. Mais au-delà des aspects matériels, c’est la satisfaction de contribuer concrètement à la préservation de notre planète et d’inspirer les générations futures qui fait toute la valeur de ce métier. C’est un engagement personnel profond, transformant la passion en une action quotidienne pour un avenir plus vert et plus harmonieux. J’ai eu la chance d’en faire ma vie, et je ne le regrette pas un seul instant.

Questions Fréquemment Posées (FAQ) 📖

Q: 1: Pourquoi cette certification est-elle devenue une compétence si cruciale aujourd’hui, et qu’est-ce que cela englobe concrètement ?
A1: Vous savez, avec l’urgence climatique qui nous pousse à repenser toutes nos actions, et les réglementations environnementales qui se complexifient d’année en année, l’évaluation environnementale n’est plus une simple option, c’est une nécessité absolue. Moi qui suis plongé(e) dans le domaine, j’ai pu constater à quel point les entreprises, les collectivités et même les institutions publiques cherchent activement des professionnels capables de mesurer l’impact de leurs projets sur la nature. Cette certification, c’est un gage de reconnaissance de votre capacité à analyser finement les risques et les opportunités environnementales, à proposer des solutions pour réduire l’empreinte écologique, et à garantir la conformité aux normes. Concrètement, cela signifie maîtriser des outils d’analyse complexes, comprendre les écosystèmes, et savoir communiquer efficacement les enjeux. C’est bien plus qu’une simple case à cocher sur un CV, c’est la preuve que vous avez les clés pour bâtir des projets qui respectent notre belle planète !Q2: Quelles sont les opportunités professionnelles concrètes qu’ouvre cette certification en France, et est-ce que ça va au-delà des emplois “verts” classiques ?
A2: Ah, la question que tout le monde se pose ! Et ma réponse est un grand OUI, ça va bien au-delà des idées reçues. J’ai vu des personnes certifiées évoluer dans des secteurs très variés. Bien sûr, les bureaux d’études environnementaux sont des employeurs naturels, où vous serez amené(e) à réaliser des diagnostics pour des infrastructures, des aménagements urbains ou des projets industriels. Mais ce n’est pas tout ! J’ai aussi remarqué une demande forte dans les grandes entreprises qui intègrent désormais des départements “

R: SE” (Responsabilité Sociale des Entreprises) où votre expertise est précieuse pour piloter des stratégies de développement durable. Les collectivités locales, elles aussi, recherchent des experts pour accompagner leurs politiques territoriales.
Et ce qui est vraiment excitant, c’est l’essor des startups innovantes dans l’économie circulaire ou les énergies renouvelables, où une vision éclairée de l’impact environnemental est un atout majeur.
Sans oublier les opportunités de consultant(e) indépendant(e), offrant une flexibilité incroyable. C’est un métier en pleine effervescence, où l’on ne s’ennuie jamais, croyez-moi !
Q3: Le parcours pour obtenir cette certification semble être un engagement. Concrètement, comment s’y prend-on et y a-t-il des chemins plus accessibles que d’autres ?
A3: C’est vrai, se lancer dans une certification, c’est un investissement en temps et en énergie, mais qui en vaut vraiment la peine, j’en suis convaincu(e) !
Pour être honnête, il n’y a pas un chemin unique et balisé, mais plusieurs voies qui peuvent vous y mener. Souvent, les personnes viennent d’une formation supérieure en environnement, en sciences, ou en ingénierie, avec quelques années d’expérience sur le terrain.
Ensuite, il existe des formations spécialisées, parfois sous forme de masters universitaires, de mastères spécialisés, ou de diplômes d’universités (DU) qui préparent spécifiquement à cette expertise.
Il y a aussi des organismes de formation privés qui proposent des cursus plus intensifs et professionnalisants, souvent très appréciés pour leur approche concrète.
Ce que je peux vous conseiller, c’est de bien vous renseigner sur les prérequis de chaque organisme, et de ne pas hésiter à échanger avec des professionnels déjà certifiés.
Leur expérience est une mine d’or ! L’important, c’est de trouver le parcours qui correspond le mieux à votre situation et à vos objectifs. Ce n’est pas forcément un “parcours du combattant” si on est bien accompagné(e) et motivé(e) !

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